Qui paie l'addition ? Le dilemme des 625 millions de dollars pour la Coupe du Monde 2026


Alors que Gianni Infantino entretient de bonnes relations avec Donald Trump, un problème majeur se profile à l'horizon : comment couvrir les 625 millions de dollars que les villes hôtes aux États-Unis demandent au gouvernement fédéral pour garantir la sécurité lors de la Coupe du Monde 2026.
Atlanta, Boston, Seattle, Kansas City et Philadelphie ont engagé le cabinet Hogan Lovells pour gérer le lobbying auprès du Congrès, comme l'a révélé Inside World Football, rejoignant ainsi d'autres villes comme New York, New Jersey et Los Angeles, qui ont déjà investi des milliers de dollars dans cette tâche.
La demande, soutenue par des législateurs des deux partis, considère l'événement comme "le plus grand rendez-vous sportif de l'histoire" et justifie la dépense comme "un investissement raisonnable et nécessaire dans la sécurité nationale". Cependant, la FIFA n'a pas publié de détails pour soutenir ses promesses de bénéfices millionnaires.
Selon le député Josh Gottheimer, "c'est un sport d'équipe et tout le monde doit participer". Mais, pour l'instant, personne ne sait si cette équipe inclura Trump, Musk ou même la FIFA elle-même au moment de payer l'addition.
























